Moi vu par moi ;-)

Autodidacte et passionné de photographie

J'ai découvert le plaisir de la photographie au Lycée en cotoyant d'autres amateurs d'images, puis, il s'est encore inténsifié lors de ma période universitaire en croisant de plus en plus de passionnés de cet art graphique. La pratique de la spéléologie m'a également permi de croiser de nombreux amateurs et profesionnels de l'image. Certains m'ont inspiré, d'autres m'ont influancés. Toutes ces rencontres, ces moments d'échanges et de partages n'ont fait que renforcer mon goût et mon envie de photographier.

Un apprentissage empirique

Mon apprentissage en photo a toujours été empirique, et, avec l'avènement de la photo numérique, il l'est toujours de plus en plus.

Mes premiers pas en photo ont été réalisés avec un boitier offert par mes parents, un Canon AE1 et une série d'objectifs Canon FD (28, 35, 50, 35-135). Durant les années 90, j'ai exploité ce matériel argentique avec des films en négatif, noir et blanc ou couleur, que je dévelopais avec un petit labo acheté d'occasion. Sur les dernières années de prises de vues en argentique, la diapositive m'avait d'avantage séduit pour sa dimmension spectaculaire lors de la projection. A la fin de mes études, en 2003, j'ai commencé en photo numérique avec un petit Canon Powershot A70 @ 3.2 MegaPixels. Puis avec un premier réflex numérique en APS-C le Canon EOS 350D @ 8 MégaPixels. Depuis quelques années (depuis sa sortie) j'utilise essentiellement en Full Frame le Canon EOS 6D @ 20.2 MégaPixels. Pour moi, le plaisir de photographier est essentilelement lié au fait de jouer avec trois facteurs pour valoriser le sujet: le cadrage, la lumière nuturelle et la profondeur de champs. Comme en spéléo la lumière est absente, il faut la créer. Dans cet environnement, chaque façon d'éclairer la cavité va la valoriser d'une manière différente. C'est un espace créatif infinie qui s'ouvre ici aux photographes, en "one shot" ou "un pose" le "light painting" à toujours été la règle en photo spéléo, même bien avant que ce terme photographique n'existe. Côté matériel ici aussi les choses ont grandement évoluées avec le numérique. J'utilisais au départ des flash électronique (NG30) dont la porté était limitée que je déclenchais à distance avec des cellules frabriquées par Michel Soulier. Matériel que chaque spéléo achetait comme une denrée rare à chaque congrés spéléo. Depuis quelques années les cellules Wifi facilitent gradement les choses, en permettant, au-delà du déclenchement des flash le réglage de leur puissance et de leur focalisation à distance. Côté flash, pour disposer de forte puissance, j'avais dans les années 2000 avec Bernard Lafage créé des flashs sur puissants avec des lampes de stroboscopes de boites de ntuis et des condensateurs de laves linges pour remplacer les hitoriques lampes magnésiques. Aujourd'hui la aussi le confort des flash de studio sur batteries tel que Godox ou Yongnuo facilitent grandement les choses et permettent d'expérimenter toujours plus.
En ce qui conerne le traitement des images, j'ai retrouvé tardivement avec lightroom le plaisir de traiter les RAW comme l'on peut réaliser un tirage photo à la lumière de son agrandisseur. Mais, je viens dernièrement de quitter ce produit pour un le Français de l'étape DXO Photo Lab.